J'ai longuement flotté sur les champs de bataille

résistant bravement aux coups de la mitraille

maintes fois ma voilure épongea dans le vent

le sang des soldats morts, les pleurs des survivants.

Au sommet du pays je dressais mes couleurs

témoignage vibrant de la Foi, de l'Honneur. Les anciens devant moi soulevaient leur chapeau

Qu'y-a-t-il de plus beau que l'amour du drapeau ?

Mais la honte survint par un soir gris d'hiver

Ma hampe fut brisée par des mains étrangères

lacérés, mes beaux plis sanglotaient en silence

en voyant que ces doigts s'attaquaient à la France

Devant la foule haineuse, on me jeta à terre.

Un instant, je pensais : "nous sommes donc en guerre !"

Mais en guerre, un étendard a ses défenseurs,

Ici nul n'accourut pour calmer ma douleur !

Les uniformes bleus trépignaient de colère,

Mais leur chef, tout là-haut, préservant sa carrière

Me laissa sans mot dire aux mains de mes bourreaux :

je mourus sans qu'une arme ne quitta son fourreau

Ce soir, je regrettais de porter ces couleurs

Car une part de la France est morte dans mes pleurs

Quand mon pays me laisse ainsi, succomber seul

Je ne suis plus drapeau, mais je deviens linceul.

Lieutenant-colonel Michel BRAULT

Faut-il continuer à leur donner de l'eau d'Evian à boire ???

Gardons en mémoire

ces instants là !

http://www.6juin1944.com

Chaque année nous nous présentons chaleureusement des voeux de bonheur,

mais que mettons-nous derrière ce mot ?

Qu'est-ce-que le bonheur ?

Si je commence par des références hautement intellectuelles, appartenant à notre patrimoine culturel,

Obélix, dans Obélix et Cie, donne cete définition : pour être heureux, il suffit de quelques romains à qui donner des baffes

et de quelques sangliers à partager avec ses amis :

fraternité et bonheur simple.

Le bonheur vient de la fidélité et à ce titre il se conquiert, exige des renoncements :

Fidélité à soi-même, à ses engagements, à sa conscience : on peut difficilement être heureux si on se méprise soi-même. Le bonheur exige de renoncer à la médiocrité. La conscience de faire son devoir, de faire ce qui est bien,

de dépasser ses limites, de se dévouer,

voilà ce qui nous rend heurux.

Fidélité aux autres, à ceux que l'on aime, à sa famille, à ses amis. L'amour, l'amitié, la camaraderie, la fraternité sont essentiels à notre bonheur.

Pour grandir, ces sentiments nécessitent la confiance et

donc la fidélité à la parole donnée.

Le bonheur est un état d'esprit : devant ce qui ne va pas, nous pouvons soit nous plaindre, soit choisir d'agir et y mettre toute notre énergie. Ou plutôt, en raison de nos origines gauloises qui nous font aimer râler : nous pouvons râler et agir derrière. Ne minimisons pas notre capacité à influer sur notre environnement.

C'est le fameux "yes we can" si à la mode actuellement.

Le bonheur est un choix : malgré notre fidélité, notre action, nous pouvons être frappés de malheurs : maladie, blessure, déboires professionnels, trahison d'un ami, d'un conjoint, mort d'un proche. Mais ne nous trompons pas : il y a ceux sont tout le temps heureux, qui à défaut d'avoir ce qu'ils aiment choissent d'aimer ce qu'ils ont et il y a ceux qui sont perpétuellement malheureux. Tant que nous ne sommes pas écrasés par les épreuves, sachons reconnaître nos bonheurs, car tous ne connaissent pas les mêmes.

En résumé, le bonheur s'obtient par la fidélité à son devoir, par la fidélité aux autres, à la parole donnée par l'action et l'énergie, par des choix résolus.

(extraits du discours des voeux 

du chef de corps du 17ème RGP à ses personnels)

Adossé à un chêne liège

je descendais quelques arpèges

En priant Dieu, Boudha, que sais-je

Est-ce que tu penses à nous un peu ?

On a dressé des cathédrales

des flèches à toucher les étoiles

dit des prières monumentales

quest-ce qu'on pouvait faire de mieux ?

Etes-vous-là, êtes-vous proches,

ou trop loin pour entendre nos cloches

gardez-vous les mains dans vos poches

ou est-ce vos larmes quand il pleut ?

Sommes-nous seuls dans cette histoire

les seuls à continuer d'y croire

regardons-nous vers le bon phare

ou le ciel était-il vide et creux ?

Oû êtes-vous dans l'atmosphère

on vous attend on vous espère

mais c'est le doute et le mystère

que vous m'avez appris le mieux.

extrait de "le chêne liège"

Francis Cabrel

obsèques d'Anthony Rivière

soldat au 8ème RPIMa

Le Tampon (île de la Réunion)

Je suis fatigué de cette nation qui s'inquiète de savoir si nous offensons quelques individus ou leurs cultures. Depuis les attaques terrotistes du 11 septembre, nous observons une vague de patriotisme par la majorité des Canadiens. Par contre, la poussière des attaques était à peine retombée que là le monde du "politically correct" a commencé à se plaindre qu'il y avait une possiblité que notre patriotisme offusquait les autres.

Je ne suis pas contre l'immigration et je n'ai aucune dent contre quiconque cherche une meilleure vie en venant au Canada. Notre polutation est presque entièrement faite de descendants d'immigrés. Par contre, il y a quelques petites choses que devraient comprendre les gens qui sont récemment arrivés dans notre pays et même, apparemment, quelques-uns qui y sont nés. Cette idée que le Canada est une communauté multiculturelle a servi seulement à diluer notre souveraineté et notre identité nationale. En tant que Canadiens nous avons notre propre culture, notre propre société, notre propre langue et notre propre style de vie. Cette culture a été développée par des millions de femmes et d'hommes qui ont cherché la liberté, et ce après des siècles de luttes, d'épreuves et de victoires.

Nous parlon  ANGLAIS/FRANCAIS. Pas l'espagnol, l'Arabe, le Portugais, le Chinois, le Japonais, le Russe ou tout autre langue. Par conséquent, si vous voulez faire partie de notre société, apprenez notre langue !

"Protègera nos foyers et nos droits" est notre devise nationale. Ceci n'est pas un slogan politique, chrétien, de la droite... Nous avons adopté cette devise parce que des hommes et des femmes Chrétiens... basé sur des principes chrétiens... ont fondé notre nation. Tout ceci est très bien documenté. Donc, c'est très certainement approprié que de l'afficher sur les murs de nos écoles.

Si Dieu vous offusque, alors je vous suggère de considérer une autre partie du Monde pour votre nouveau chez vous...car DIEU fait partie de notre culture.

Nous sommes heureux avec notre culture et nous n'avons aucun désir de changer et nous nous foutons vraiment de la façon dont vous faisiez les choses dans votre pays d'origine.

Ceci est NOTRE PAYS, notre terre et notre style de vie. Alors lorsque vous aurez terminé de chialer... de vous plaindre... et de rouspéter... au sujet de notre drapeau, de notre engagement, de notre devise nationale, ou de notre façon de vivre...Je vous encourage fortement à profiter d'une autre Grande Liberté Canadienne... LE DROIT DE PARTIR

Il est grand temps que le Cananda par le haut et fort.

Si vous êtes d'accord... faites cirucler ce message

Si vous n'êtes pas d'accord détruisez-le

AMEN

Je pense que si tout le monde l'envoie à leurs amis (et ennemis) tôt ou tard ce message arrivera entre les mains des chialeux, s'il vous plaît, essayons !

transmis par Yves LE VU